Walnut, Fleur de Bach, le Noyer (Juglans regia)

Protection contre les changements et les influences extérieures. De l’influençabilité vers un choix inébranlable grâce à Walnut.
Walnut protège contre les effets d’une hypersensibilité à certaines idées atmosphères ou influences. C’est la Fleur de Bach qui convient aux périodes de changements. importants dans la vie. Naissance, poussée de dents, puberté, grossesse, divorce, ménopause, changement de religion, déménagement, changement de travail, libération d’une dépendance ou rupture de restrictions ou de liens anciens. Cette Fleur de Bach aide à s’adapter au changement, à la perte d’amis ou d’un environnement familier, à la vieillesse, au deuil, à l’approche de la mort, etc…(voir également Honeysuckle).
Ceux qui ont besoin de Walnut ont des ambitions et des idéaux bien précis et tiennent à progresser dans la vie. Parfois, ils sont retenus ou détournés par l’influence d’une personnalité plus forte, par des circonstances restrictives, des contraintes familiales ou des liens avec le passé. Ils peuvent être provisoirement affectés par les problèmes ou la personnalité d’autrui. Cette Fleur de Bach est utile aux thérapeutes et conseillers qui traitent des clients épuisants ou perturbés sur le plan émotionnel. Elle offre constance et protection contre l’influence d’autrui.
Le potentiel positif de Walnut :
C’est la capacité de progresser et de poursuivre résolument le chemin qu’on s’est tracé dans la vie. La personne se sent libre d’effectuer les changements nécessaires dans la vie et de mener à bout ses projets malgré le découragement, les objections ou la dérision venant des autres.
Walnut est la Fleur de Bach destinée à ceux qui ont décidé de faire un grand pas dans la vie, de briser les vieilles conventions, lâcher les vieilles limites et restrictions et de prendre un nouveau départ.
On retrouve dans la noix l’image de la protection que nous apporte ce remède. Ce fruit à la forme de notre cerveau et il bénéficie d’une triple protection. Il est recouvert d’une membrane, puis d’une coquille et enfin d’une bogue.