Gorse Fleur de Bach, Ajonc (Ulex Europaeus)

GORSE / Ajonc (Ulex Europaeus)
« Désespoir »
Pour ceux qui ont cessé de lutter, qui sont au bout du rouleau.
Ils souffrent d’une longue maladie et se sentent condamnés à la souffrance, ils n’ont plus d’espoir de guérison. Déprimés, résignés, épuisés intérieurement, ils ont renoncé. Le Docteur Bach disait : « Ils ont l’air d’avoir besoin de soleil dans leur vie pour chasser les nuages. »
Gorse s’adresse à cet état chronique qui s’est installé avec le temps, comme dans une dégradation mentale ou une asphyxie lente. Elle s’adresse aux patients qui ne font plus rien pour améliorer leur santé alors que dans toute guérison, il y a d’abord le désir du patient d’aller bien. C’est lui le héros de l’aventure de sa propre guérison.
Gorse et Wild Rose sont proches, la première se laissera convaincre d’essayer encore quelque chose alors que Wild Rose le refuse.
Le potentiel positif : c’est la renaissance de l’espoir.
Ce revirement fondamental permet parfois la guérison. Le malade se sent plus gai et transforme son vécu de la maladie en une expérience positive. Cette Fleur du Docteur Bach par sa couleur jaune vif apporte la lumière et ses épines nous stimulent, nous sortent de la noirceur.
C’est un remède qui secoue
Il réveille celui qui avait fini par accepter son sort. Gorse fait remonter l’énergie, elle stimule, elle ravive car c’est un végétal puissant avec une féroce volonté de vivre, une fleur sensible et délicate mais aussi forte et resplendissante de lumière. Une plante coriace et tenace.
La floraison de Gorse marque le cycle de renaissance après le solstice d’hiver
Quand le soleil est au plus bas. Elle continue de fleurir, de s’épanouir pendant les gelées de janvier, les giboulées de mars… elle est à son apogée à Pacques, qui célèbre la mort et la résurrection, ce sont bien là ses qualités. Gorse stimule la force de vie.
Les épines sont le symbole de sa force de vie, de son énergie subtile. Mais il y a une autre explication, elle pousse dans les endroits très exposés au vent et ses feuilles piquantes s’entremêlent, tige à tige, branche à branche, formant un matelas tressé qui fournit un véritable réseau de soutien.
Comme les personnes dans l’état de Gorse qui doivent être soutenues exactement de la même façon. On ne peut pas les laisser seules.
Gorse, l’Ajonc pousse sur la côte sauvage.